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Collection Intériorité

La fée qui s’est planté les pieds dans la terre

Antoinette Demonprénom

Un ouvrage tout de sensibilité retraçant le chemin intérieur de l’auteure en quête d'unité où le cœur parle à la première personne… Dans la collection « Intériorité ».

L’ouvrage est à la fois le récit de vie d’Antoinette Demonprénom (alias Jaouen), énergéticienne depuis les années 70 en Bretagne – et donc, pionnière - ainsi que soignante en institutions, et un guide pour les personnes désireuses de cheminer spirituellement vers l'autonomie. La résilience est au cœur de ce récit, qui invite au réveil des capacités de chacun grâce au dépassement des peurs, des fausses croyances et pensées limitantes. Ce, sur un ton simple et optimiste.

 

Pour la réalisation de son ouvrage, Antoinette a fait appel à Anne-Laure Lussou, co-auteure. Le talent de celle-ci, tout empreint de justesse et de délicatesse, mérite d’être souligné.

https://al-lussou.com

https://www.facebook.com/annelaurelussouauteure/

Le livre est à commander directement auprès de l’auteure,

a.jaouenfree@hotmail.fr ou Tél : 06 27 54 06 00

Dans la rue de mon père
Christian Kermoal


Les souvenirs qui s'impriment dans la tête des enfants sont autant de témoignages de la construction, jour après jour, de leur être sensible et social.
Christian Kermoal nous livre ici son propre apprentissage dans un cadre particulier : il est né à Tréguier, dans la même rue qu'Ernest Renan, gloire littéraire et nationale dont l'ombre s'étend bien au-delà du pied de la cathédrale. Et dans ce lieu où souffle l'esprit, il a retenu, bien au contraire, les leçons de gens du peuple attachants et pleins de vie.
Son témoignage, à petites touches impressionnistes, utilise les portraits des habitants de sa rue pour nous faire pénétrer le monde très particulier du Tréguier des années soixante : une sage-femme magnifique, un entraîneur de foot passionné, une repris de justice de 80 ans, un cafetier amateur de courses de voitures, un camarade chanteur, un paysan chanceux ... Mais surtout, il nous parle de « Monsieur Fauteuil », son père, son seul phare dans la tempête, tandis que sa mère sombre dans un monde dans lequel il n'a plus sa place. Sous son œil amusé ou critique, chaque rencontre, entre rire et drame, est une leçon de vie.

L'auteur : Docteur en histoire de l'Université Rennes 2, chercheur associé du laboratoire Tempora,
Christian Kermoa/ est spécialisé dans l'histoire sociale du monde rural et a publié plusieurs
ouvrages et articles sur le sujet.

Un jardin si ordinaire

Hervé Le Goff

Ouvrir Un jardin si ordinaire, c’est partir en compagnie de son auteur pour un voyage intemporel au long cours, où jour après jour, appuyés sur la rambarde du haut de la fenêtre du bureau, navire immobile flottant au-dessus de cette vallée ondoyante ou houleuse, lecteur et écrivain peuvent côte à côte observer à loisir cette terre qui se donne à voir, s’offrant inlassablement au regard qui en médite le secret.

Et c’est parce que ce jardin est « si ordinaire », contenant en son sein le cycle éternel de la vie, qu’il offre àl’écrivain la perspective d’un vaste spectacle du monde et de ses états d’âme où« seul ce qui ne change pas mérite qu’on en parle ». Car « seule l’éternité est ».

Comme un rayon vert

Marcelle Gerno

Ces lignes sont l'expression de ma tendresse... Tendresse qui voudrait rester dans les yeux de mes enfants :

« Comme un rayon vert ».

C'était à Tahiti, sur la plage de Pirea, près de notre Fare*. Après la grande chaleur du jour, nous aimions nous reposer dans les Pandanus*, contempler le crépuscule... Le sable noir déchargeait sa chaleur, tandis que le bleu lagon nous rafraîchissait... Et à l’horizon, par-delà la barrière de corail, le soleil éclaboussait de lumière l'immensité de la mer.

Fascinés par la féerie des couleurs, nous étions toujours surpris par la rapidité du coucher du soleil. Vite, il disparaissait... La petite fille blonde disait, « comme s'il tombait dans la mer » et ceci nous laissait dans les yeux un rayon vert.

Puissent nos enfants dans les «pauses» de leur vie, se souvenir dans leur cœur et leurs yeux du rapide éclair de ma tendresse, « comme le rayon vert »...

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